Étrange et unique son de cloche dans le compte-rendu dans la presse locale du conseil municipal du 16 juin …
Bien présents, nous sommes longuement intervenus sur le nouveau PLUi, les occasions perdues pour Bidart, ces terrains urbanisables, achetés à grands frais et non bâtis, que la nouvelle loi oblige à garder vides, alors qu’on se ruine autour du centre.
Et le doute mis sur les chimères, développement économique réservé à des centres muséifiés ou sans parking, pistes cyclables qui ne mènent à rien, lignes de bus sans abri, gare sans train, politique du logement qui exclut les classes moyennes …
Et comme preuve que nous avons bien raison, encore des attaques personnelles à notre égard, comme déclenchées automatiquement chaque fois que nous mettons la majorité face à ses contradictions … un bel hommage au débat d’idées !
nb : gros mensonge entretenu par la mairie sur le taux de résidences secondaires, prétendument passé de 40 à 30% par son action. En fait, en 2009, l’INSEE s’était mis à comptabiliser en logement les mobil-homes des campings, ce qui déformait la statistique !
Depuis toujours Bidart compte 30% de résidences secondaires, et c’est comme ça.
En revanche cette majorité n’a pas su empêcher un phénomène pernicieux : désormais, des studios étriqués de 29 m2 en bord de plage, sont habités à l’année, alors que des pavillons de 99 m2 m, anciens logements typiques, sont transformés en villas balnéaires de 300 m2.